Rafik, Directeur De Lycée Deuxième Partie: Hakima, Prof D’Anglais

« Je m’étais déjà faite sodomisée plus d’une fois par mon mari, qui m’avait initiée à cette pratique. La première fois je n’avais pas aimé. Ni, d’ailleurs, la deuxième fois. Puis, à force d’offrir mon anus aux furieux pilonnages de mon mari, j’avais fini par y prendre goût et même, par aimer. Mais le zob de mon mari était de taille « normale ». Il n’avait pas les dimensions exceptionnelles de celui de Rafik. Sans exagérer, son zob à lui, quand il était en érection, ressemblait à celui d’un âne. Il en avait la dimension, la forme et même la couleur. Il ne pouvait pas pénétrer dans mon cul, sans le démolir. J’avais donc beaucoup d’appréhension à le laisser m’enculer. Mais, sans que je puisse me l’expliquer, je n’essayais pas de m’opposer à la volonté de l’homme, ni de protester, même mollement.
« J’avais seulement le cœur qui battait un peu plus vite – la crainte de la douleur – et surtout, j’étais dans une situation d’attente presque jouissive. J’avais – contrainte par la main gauche de l’homme qui appuyait sur ma cuisse droite – gardée la position, allongée sur le dos en travers du bureau, les jambes relevées et largement écartées. J’offrais ainsi mes deux trous à Rafik, en espérant qu’il choisisse, une fois de plus, ma chatte. Mais je savais qu’il avait flashé sur mon cul et que c’était ce trou-là qu’il convoitait. Je le regardais qui tenait son immense queue, qui trépignait d’impatience, avec sa main droite et qui la dirigeait vers mon anus qui se trouvait à la bonne hauteur. Il posa le bout de son large gland sur mon œillet, attendit environ deux secondes et donna une forte poussée à ses hanches. Je sentis le bout du gland qui essayait de se frayer un chemin, en pesant puissamment sur mon sphincter. Celui-ci refusa de céder et résista autant qu’il put. Il me sembla que cela avait duré une éternité. Le gland n’arrivait pas à pénétrer totalement dans mon cul.
« Et puis, je sentis mon anus s’élargir sous l’impitoyable poussée et s’étirer tel un élastique pour arriver à sa dimension maximale.

Et soudainement, mon sphincter céda en se déchirant et je poussais un hurlement de bête blessée. La douleur provoquée par l’éclatement de mon anneau avait été beaucoup plus intense que celle de mon hymen au cours de ma nuit de noces. J’essayais de repousser de toutes mes forces les hanches de Rafik, mais je ne réussis qu’à avoir encore plus mal, sans pour autant empêcher le monstre d’entamer un va-et-vient endiablé dans mon rectum. A chaque fois qu’il s’enfonçait dans le boyau, je criais de douleur. Il n’en avait cure. Il continuait imperturbablement son œuvre de démolition. Au début je n’éprouvais aucune sensation de plaisir. Rien que de la douleur. Et puis mon cul finit par s’habi à la présence dévastatrice du zob, puis à prendre goût au fait qu’il remplissait complètement mon boyau. Ce fut cette sensation d’avoir le cul rempli, qui commença à me donner du plaisir. Puis les mouvements d’allers-retours de plus en plus rapides, perdirent leur effet douloureux et commencèrent à irradier une douce chaleur qui se transforma assez vite en incendie. La même sensation d’incendie qu’il avait créée auparavant dans ma chatte.
« Et le plaisir finit par tout dominer. Surtout que Rafik prit l’initiative de m’attr la main droite et de la porter à ma chatte que je sentais palpiter. Il m’obligea à y faire pénétrer deux, puis trois doigts, et à entamer un mouvement de masturbation. Il m’ordonna de me masturber (« Haki ! ») et lâcha ma main. Au début j’hésitais un peu à me masturber vraiment. Puis, l’intensité du plaisir aidant, je me mis à faire aller et venir mes trois doigts dans mon vagin avec de plus en plus de vigueur. C’était délicieux ! D’un côté, mon cul était rempli par le magnifique zob de mon amant et de l’autre, mes doigts occupaient mon vagin, dans lequel ils allaient et venaient furieusement. Et à chaque aller-retour, ils croisaient le zob et se frottaient à lui. Je n’avais encore jamais ressenti une telle sensation. J’avais entendu parler de double pénétration et je crois que c’était cette sensation là qu’une femme, qui se faisait prendre par deux hommes en même temps, devait ressentir.
C’était paradisiaque ! Il n’y avait plus maintenant de trace de douleur ! Il n’y avait que du plaisir !
« Et je le montrai à mon homme, en reprenant mon couinement de cochonne que j’avais auparavant quand Rafik m’avait fait jouir, deux fois de suite, par la chatte. Je n’arrivais pas à me retenir. Une force supérieure me poussait à produire ce bruit bizarre, qui était la représentation sonore du plaisir que j’étais entrain de prendre. L’homme lui rugissait comme un lion à chaque pénétration. Ses couilles, dures comme de la pierre, venaient à chaque fois cogner contre mes fesses et produisaient un bruit sec, qui ajoutait à notre émoi à tous les deux. Je regardai le visage de mon amant qui était crispé par l’effort qu’il faisait et par le plaisir qu’il prenait. Ses lèvres tremblaient à chacun de ses coups de reins et de la bave commençaient à en sortir. Ses yeux étaient exorbités par le désir et le plaisir. Je voyais qu’il n’allait pas tarder à exploser dans mon cul.
« Je voulais jouir en même temps que lui. Je ne voulais qu’il jouisse tout seul, en me laissant sur ma faim. J’accentuais le rythme du va-et-vient de mes doigts dans mon vagin et cherchait à chaque fois à attr, à travers les parois vaginale et rectale, le zob qui continuait d’aller et venir dans mon cul. Chaque fois que je le frôlais je ressentais comme une légère décharge électrique qui accentuait la sonorité de mon couinement et faisait tirer à Rafik un gémissement de plaisir. Et puis je vis dévaler en moi un torrent de jouissance, qui me fit pousser un très long râle de plaisir, qui dura tout le temps de l’orgasme. Mon amant partit lui aussi dans un long rugissement et explosa dans mon cul. Il éjacula, une fois de plus, une énorme quantité de foutre, que son manche faisait ressortir à chaque retour vers l’extérieur. Bizarrement, au moment même où Rafik et moi jouissions bruyamment, l’idée me traversa l’esprit que Wahiba, la secrétaire de mon amant qui travaillait dans le bureau d’à côté, était entrain de nous entendre et que peut-être même, elle nous épiait à travers le trou de la serrure de la porte.
Et je m’en fichais complètement ! Rafik se vida complètement et sortit son zob, un peu ramolli, de mon cul.
« Il fit alors une chose complètement folle. Du moins dans mon esprit. Il me fit descendre du bureau sur lequel j’étais allongée et m’obligea à me mettre à genoux devant lui. Il me présenta son zob noir, rempli de nos sécrétions et m’ordonna de le lécher.
- Lahsi‘h ou ghasli‘h befoumek ! (Lèche-le et lave-le avec ta bouche !)
« Je n’avais jamais fait une chose pareille. Mon mari ne m’avait jamais demandé de le sucer après m’avoir enculée. Et si d’aventure, il l’avait fait, ma réponse aurait été catégoriquement négative. Mais avec Rafik, il n’était pas question de refuser quoi que ce soit. Et, pour être vraiment honnête, je n’avais aucune envie de refuser. J’étais dans le même état d’esprit qu’une femme sous influence. Ce qui venait de mon homme ne pouvait pas être mauvais ! Ce qu’il m’ordonnait devait être exécuté sans réticence, résistance ou appréhension ! J’attrapai donc le zob, un peu flasque de Rafik et avançai la tête vers son pubis. Je fus frappée par l’odeur assez forte de cacas que dégageait le manche, mais cela ne m’arrêta pas pour sortir la langue et me mettre à le lécher. Je n’aimais pas le goût du mélange que j’étais entrain de ramasser avec ma langue, mais je fis l’effort de le porter à ma bouche et de l’avaler.
« Je recommençais plusieurs fois. Rafik gémissait à chacun de mes coups de langue. De toute évidence, il aimait ce que je lui faisais. Il aimait tellement, qu’il se remit à bander. Moins de deux minutes plus tard, son manche avait repris ses proportions exceptionnelles et se remit à frémir de désir. Il m’attrapa violemment par les cheveux et m’ordonna d’une voix qui n’admettait aucune réplique :
- Halli foumek ! Rayeh en-nikek men-nou ! (Ouvre ta bouche ! Je vais te niquer par là !)
« Et il me niqua par la bouche, comme il m’avait niquée par la chatte ! Comme il m’avait niquée par le cul ! Avec autant de force et de puissance ! Il avait même failli me faire mourir d’, tellement son manche avait pénétré très loin au-delà de la glotte.
J’avais très mal et en même temps j’avais envie de vomir. D’ailleurs j’avais vomis plusieurs fois sur son zob, au moment où il le ressortait, pour me permettre de reprendre mon souffle. Cela augmentait son excitation de voir l’état dans lequel il m’avait mise : les yeux qui coulaient de larmes, les narines qui dégoulinaient de morve, les lèvres qui laissaient passer des flots de salive et la bouche qui laissait sortir de temps en temps du vomi. A aucun moment, il n’avait lâché mes cheveux sur lesquels il continuait de tirer violemment. J’étais sa chose et il me traitait comme telle. Et cela me plaisait d’être la chose de cet homme. Inconsciemment, je voulais lui donner tout le plaisir qu’il voulait, afin qu’il reste avec moi.
« Parce que dès cette première fois, j’avais décidé de tout faire pour que Rafik me garde auprès de lui. Que je sois sa maîtresse dans le lycée. Sa seule maîtresse. Je voulais que toutes les femmes me jalousent et rêvent d’être à ma place. Une place que je ne leur céderais pas ! C’est donc avec délectation que je reçus - d’abord au fond de ma gorge, puis dans ma bouche et le reste sur le visage – tout le sperme qu’il éjacula en jouissant. Et du sperme, il en avait encore en quantité, malgré ses trois éjaculations précédentes. Et je bus la totalité avec ostentation, pour lui montrer que j’étais une maîtresse à la hauteur.
« Il me laissa partir juste après cette bizarre fellation, après m’avoir dit que j’étais exactement comme il m’imaginait (une pute qui adorait le sexe !) et m’avoir donné rendez-vous, chez lui pour le lendemain matin. Voilà toute l’histoire. Demain je retourne le voir et je passerai toute la matinée dans ses bras. Je suis devenue terriblement accro à cet homme et à son merveilleux manche.
…/…
Voila donc l’histoire de la première d’entre nous qui goûta au zob de Rafik, notre directeur. Hakima, Zineb et moi en fûmes toutes retournées. Peut-être même un peu jalouses. Ce qu’elle nous avait raconté avait mis le feu en nous. Pour ne parler que de moi, j’avais la culotte toute mouillée et l’envie de baiser m’avait accompagnée tout le reste de la journée. Ce fut mon mari qui fit les frais de cette envie irrépressible de me faire tirer. Dès qu’il rentra à la maison, vers dix-huit heures, je l’entrainais dans notre chambre à coucher (notre bébé y dormait encore) et l’obligeai à me tirer en levrette. Le pauvre en était tout étonné. Il ne m’avait encore jamais vu dans un tel état d’excitation, mais il se plia à mes désirs sans poser une seule question. Par la suite, je lui dis qu’une amie m’avait raconté ses ébats de la nuit avec son mari et que cela m’avait beaucoup excitée. Il m’avait semblé que j’avais beaucoup joui : certainement à cause du contexte un peu spécial des ébats.
Zahia continua un moment à nous raconter, avec moult précisions, ses aventures avec Rafik. Elle n’arrêtait pas de tarir d’éloges sur les capacités phénoménales de l’homme : puissant et infatigable. Et elle n’arrêtait pas de décrire l’engin qu’il portait entre ses cuisses : ses mensurations, sa beauté, sa puissance, sa force et sa douceur. Et à chaque fois, elle nous rendait plus jalouses d’elle. Chacune d’entre-nous s’imaginait à sa place entrain de subir les assauts du maître. Et à chaque fois, nous rentrions un peu frustrées à la maison. Et puis un matin, Zahia prit Hakima à part et lui parla longuement, sans que Zineb et moi ne pûmes entendre quoi que ce soit. Quand elles terminèrent leur aparté, elles revinrent vers nous avec un merveilleux sourire sur les lèvres. Surtout Hakima. Ce fut elle qui nous annonça que cette après-midi, elle avait rendez-vous avec Rafik. Dans son bureau. Elle en tremblait presque d’émotion.
Ce fut Zahia qui nous expliqua ce qui était entrain de se passer. Rafik lui avait dit, après quelques jours d’amours exclusives avec elle, qu’il aimait trop les femmes pour pouvoir se contenter d’une seule. Il aimait le changement et c’était, ajouta-t-il, la raison principale qui l’avait poussé à rester célibataire. Elle en avait été un peu choquée. Mais après quelques minutes de réflexion, elle avait fini par accepter la chose. Elle était trop accro à lui pour le larguer. Il lui fallait donc organiser elle-même la suite. Elle acceptait qu’il baise d’autres femmes, mais il fallait que ce soit des femmes qu’elle lui aura elle-même choisies. Et qui fera le mieux l’affaire que ses trois copines ? qui bavaient d’excitation chaque fois qu’elle leur parlait de lui ? Elle lui avait donc parlé de nous et l’avait convaincu de faire de nous ses maîtresses. Elle l’avait assuré que nous nous avions du tempérament et que nous étions de vraies chiennes au lit. Et il accepta.
Je ne sais pas comment les autres avaient, au fond d’elles-mêmes, pris la nouvelle, mais aucune de nous ne refusa la perspective de devenir la maîtresse de Rafik. Aucune de nous ne protesta contre Zahia qui avait fait de nous des objets, des cadeaux, qu’on offrait à un homme. Cela faisait longtemps que Zahia nous louait ses capacités d’amant. Longtemps que chacune d’entre-nous s’imaginait offertes aux coups de boutoir du gros zob noir de l’homme. En ce qui me concernait, je ne réagis pas. Je ne dis ni oui, ni non. Mais au fond de moi, je savais que j’allais attendre avec impatience mon tour. En attendant, nous avions toutes les trois – Zahia comprise, demandé à Hakima de ne rien nous cacher de ce qui allait lui advenir. Et, le lendemain matin, elle nous raconta.
... /…
L’histoire de Hakima
« Hier à quatorze heures, je pénétrais dans le bureau du directeur, après m’être faite annoncée par Wahiba et qu’il eut actionné le mécanisme d’ouverture électrique de la porte. Je le trouvais assis derrière le bureau. Il leva la tête pour me regarder et me toisa de la tête au pied. Il fit un signe de la main pour me signifier d’avancer vers lui. Ce que je fis sans me presser, tant j’étais émue. Je suis une femme qui a eu des tas d’amants. Les hommes ne m’intimident donc pas. Mais cet homme, assis derrière son bureau, qui me regardait avec des yeux moqueurs et qui ne se levait pas, m’intimidait vraiment. Je savais qu’il était entrain de m’étudier pour se faire une idée sur moi. Non pas sur mon physique ; il le connaissait assez bien, puisque nous nous rencontrions presque tous les jours dans la cour du lycée, dans les réunions de classes et même parfois en salles de classe, quand il venait s’assurer que tout se passait pour le mieux.
« Il cherchait plus à se faire une idée sur la manière dont il allait s’y prendre avec moi pour passer au vif du sujet. Quand j’arrivai au milieu du bureau, il se leva et vint vers moi, les deux bras ouverts comme s’il voulait me montrer qu’il était content de me voir en m’enlaçant et en me serrant contre lui. Et c’est effectivement ce qu’il fit : il me prit dans ses bras et me colla contre lui, comme si j’étais une personne qui lui était chère, qu’il avait perdue de vie et qu’il venait de retrouver. J’étais un peu abasourdie par cette entrée en matière, mais ne me posai pas trop de questions. Je savais ce qu’il voulait et j’étais d’accord pour le lui donner. Les préliminaires ne m’intéressaient pas spécialement. Nous restâmes ainsi quelques secondes, puis il me susurra à l’oreille que je lui plaisais beaucoup et qu’il allait me baiser debout.
- Rayeh en-nikek bel-wegfiya ! (Je vais te baiser debout !)
« Je ne répondis pas, ni pour acquiescer, ni pour me révolter. Mais dès cet instant, je ne contrôlais absolument plus rien. Il allait me baiser debout ! Il m’était arrivée quelques fois de me faire tirer dans cette position ; par mon ex mari et aussi par quelques-uns de mes nombreux amants. J’avais beaucoup aimé. C’était une position qui me permettait de mieux sentir la puissance du zob qui me pénétrait ; une position qui me faisait jouir plus intensément. Et Rafik allait me baiser debout ! Quelle entrée en matière ! Et pour passer immédiatement à l’acte, il me garda serrée entre ses bras, et me souleva légèrement du sol pour me porter vers le mur derrière son bureau et me coller contre lui. Il me déposa par terre et commença par me donner un long baiser sur la bouche. Un baiser torride et mouillé qui transforma ma chatte en fontaine. Il ne chercha pas à me déshabiller. Il se contenta de relever les pans de la longue robe que je portai pour dénuder mes jambes et mes cuisses. Il regarda le spectacle que je lui offrais ainsi, avec ma petite culotte en coton blanc et il sourit de contentement. Visiblement le spectacle lui plaisait.
« Il lança sa main vers mon entrecuisse et se mit à me caresser la chatte par-dessus la culotte. Il n’y alla pas avec douceur. Au contraire, il s’y prit avec brutalité, comme si, déjà, il cherchait à me faire mal. Et il me fit mal. Pas un mal intense ; juste pour me montrer qu’il était le maître. Il semblait intéressé par la forme de ma chatte, telle que l’entrecuisse de ma culotte la dessinait. Une chatte dodue, avec de longues grandes lèvres en forme de quartiers d’orange, bien juteuse. Il écarta le bord de la culotte pour mettre à nue ma chatte. Il introduisit deux doigts pour la caresser et, probablement, pour vérifier mon état d’excitation. Il parut rassuré quand il vit que j’étais déjà très mouillée.
- Raki et-sili ! Testena wekta en-nikek ! Wekta en-dekhal‘hou-lek ! (Tu coules ! Tu attends le moment où je vais te niquer ! Le moment où je vais te pénétrer !)
« Je ne répondis rien et attendis la suite avec impatience. Je voulais voir le monstre que nous avait décrit Zahia. Je voulais qu’il sorte son zob de son pantalon pour que je puisse mater le manche qui allait prendre possession de moi. Mais je ne le lui dis pas. Non pas par timidité ou parce que je voulais garder une peu de ma « dignité ». Non simplement parce que je ne savais comment le lui dire et que de toutes les façons, il n’allait pas tarder à me le montrer, ne serait-ce que pour voir l’effet qu’il aura sur moi. Et, comme je le supputais, il ne tarda pas à s’éloigner de quelques centimètres de moi pour enlever son pantalon et son boxer et rester avec seulement sa chemise ouverte sur son torse velu. J’aperçus le monstre noir dressé tel un mât de tente et frémissant d’impatience. Zahia n’avait pas menti. Ce n’était pas un zob normal d’homme. C’était un zob d’âne. Un zob comme je n’en avais encore jamais vue. Un zob qui allait me transpercer comme un sabre et qui allait certainement me déchirer la vulve. Paradoxalement, je n’en avais pas peur. Je le voulais tellement, qu’à sa vue, ma chatte se mit à palpiter et à couler comme une fontaine. Je voulais le sentir immédiatement dans mon vagin. Je voulais qu’il prenne possession de mon tunnel et qu’il y fasse son nid. Je voulais qu’il y habite pour tout le restant de mes jours. Je ne pus m’empêcher de le lui dire :
- Ezzrab, dekhal‘houli ! Dekhlou‘h fi hatchnouni ! Kessarli souwti ! (Fais vite, pénètre-moi ! Fais-le pénétrer dans ma chatte ! Démolis-moi la chatte !)
« Ce qu’il fit, en me faisant lever la jambe gauche en la prenant par l’intérieur du genou, en me collant contre le mur et en me soulevant de quelques centimètres du sol pour que ma chatte soit à la bonne hauteur de son manche. Il me souffla à l’oreille de bien m’accrocher à son cou. Il tâtonna un peu pour bien positionner son gland entre mes grandes lèvres, plia un peu ses genoux pour se mettre sous ma chatte et brusquement, il me pénétra sans précaution. Je sentis le sabre me déchirer la vulve. Il m’avait fait vraiment mal. Rafik étouffa le hurlement de douleur que j’essayais de pousser en posant ses lèvres sur les miennes. Il prenait du plaisir à me faire mal. Cet homme devait avoir en lui un fond de sadisme, qui le poussait à provoquer de la douleur chez ses amantes et à en jouir. Sans s’occuper des cris de douleur que j’essayais de pousser à l’intérieur de sa bouche, il entreprit d’aller et venir en moi avec de plus en plus de force et de brutalité.
« Son monstre allait et venait jusqu’au plus profond de mon vagin, qui le moulait parfaitement. J’étais complètement empalée sur lui. J’en ressentais la force et la puissance. Mais aussi la douce chaleur qui l’accompagnait. Car ce zob qui me détruisait la vulve, créait en même temps en moi un foyer de chaleur qui irradiait sur tout mon corps. Une chaleur qui avait même fini par prendre le dessus sur la douleur. Passé les premiers allers-retours qui n’avaient pas été de tout repos pour moi, le désir et le plaisir avaient commencé à s’installer. Ils grandissaient à vue d’œil. J’étais maintenant transportée vers les plus hauts sommets du plaisir. Rafik, qui semblait être très loin de mes préoccupations, continuait imperturbablement ses allers-retours dans mon vagin. Il paraissait n’être à l’écoute que de son seul plaisir. Rien d’autre ne comptait pour lui. Pas même moi ! Je n’étais que l’objet de son plaisir ! Rien d’autre ! Et je m’en fichais complètement !
« Seul comptait ce monstre qui avait pris possession de moi et qui était entrain de m’emmener au paradis. Les furieux allers-retours du zob avaient allumé un véritable brasier en moi. Un brasier qui ne brulait pas. Il produisait une belle chaleur, qui petit à petit me faisait grimper au septième ciel. J’avais l’impression que mon âme était entrain de s’envoler et de planer au dessus de nous. Je me regardais prendre du plaisir et cela me rendait heureuse. De là-haut, je voyais Rafik, tel un guerrier farouche, qui continuait de faire monter et descendre son manche dans mon tunnel. Il avait fermé la bouche et je voyais ses joues se gonfler et se dégonfler à chacune de ses pénétrations brutales. Et à chaque fois, il soufflait comme un phoque. J’étais toujours fermement accrochée à sa nuque, pour ne pas perdre l’équilibre. Inconsciemment, j’avais même planté mes ongles dans sa chair, peut-être pour lui rendre un peu de la douleur qu’il avait provoquée en moi, quelques temps auparavant.
Je n’arrivais pas à retenir les cris de plaisir qui commençaient à sortir de ma poitrine. C’étaient des petits cris aigus qui accompagnaient chaque pénétration du monstre dans mon tunnel. Des cris qui faisaient écho à la respiration haletante de Rafik. Et je bavais ! Je m’en étais pas rendue compte tout de suite. Je ne découvris les dégâts qu’au moment où, exténuée, j’avais posé ma tête au creux de l’épaule de mon homme. Le haut de sa chemise était complètement mouillé par toute la salive que je produisis pendant qu’il me tirait. Et puis l’orgasme vint. L’orgasme le plus intense que j’avais jamais connu. Et je n’étais pas novice en la matière. J’avais eu un grand nombre d’amants et certains d’entre eux étaient vraiment à la hauteur. L’orgasme que j’eus sous les coups de boutoir du manche de Rafik m’avait emmenée au bord de l’évanouissement. Si je n’avais pas été plaquée aussi fermement contre le mur, et si je n’avais pas été retenue par les bras puissants de l’homme, je serais certainement tombée sur le parquet du bureau. Je déchargeai, en poussant une série de râles successifs, une quantité incroyable de jus, que je sentais s’écouler en dehors, pompée par le piston de Rafik qui continuait d’aller et venir en moi.
Puis je le sentis qui se crispa. La main qui me tenait sous le genou serra très fort sur ma chair et me fit très mal. Je ne l’entendis plus respirer. Comme s’il se retenait de peur d’éloigner le torrent de jouissance qui dévalait sur lui. Et puis, il poussa un long râle et explosa en moi en continuant ses furieux va-et-vient en moi. Il éjacula, en plusieurs jets, une quantité phénoménale de sperme brulant et visqueux, que je sentais couler le long de ma cuisse droite pour aller se mélanger au jus que j’avais moi-même déversé sur le parquet. La jouissance de Rafik me sembla durer une éternité. Je crois même qu’il avait joui plusieurs fois d’affilée. Il avait continué de me pilonner la chatte pendant de longues minutes. Son manche était toujours en forme. Et même quand il arrêta les va-et-vient et qu’il le sortit de mon tunnel, son zob était toujours en érection. Il me reposa doucement sur le parquet, mais mes jambes refusèrent de me porter. Elles étaient flageolantes. Je ne pus que me laisser glisser par terre pour ne pas tomber. Rafik me rejoignit sur le parquet et m’embrassa tendrement. Un geste que je le croyais incapable de faire. Jusque là, il n’avait pas encore fait preuve de tendresse envers moi. Rien que de la brutalité !
Je crois qu’il avait conscience qu’il s’était comporté avec moi de manière trop brutale et que le baiser d’après coït, était sa manière à lui de s’excuser. Nous restâmes ainsi, assis par terre contre le mur pendant un long moment. J’avais du mal à reprendre mon souffle et à remettre de l’ordre dans mes idées. Lui, il respirait doucement, tout en me regardant avec intérêt. Il regardait mes genoux ronds et brillants et mes cuisses dénudées. Son monstre était toujours debout ! Et il frémissait. Il avait encore envie ! Je savais que j’allais encore être la victime de sa vitalité hors normes.
…/…

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