Rafik, Directeur De Lycée Deuxième Partie: Hakima, Prof DAnglais
« Je métais déjà faite sodomisée plus dune fois par mon mari, qui mavait initiée à cette pratique. La première fois je navais pas aimé. Ni, dailleurs, la deuxième fois. Puis, à force doffrir mon anus aux furieux pilonnages de mon mari, javais fini par y prendre goût et même, par aimer. Mais le zob de mon mari était de taille « normale ». Il navait pas les dimensions exceptionnelles de celui de Rafik. Sans exagérer, son zob à lui, quand il était en érection, ressemblait à celui dun âne. Il en avait la dimension, la forme et même la couleur. Il ne pouvait pas pénétrer dans mon cul, sans le démolir. Javais donc beaucoup dappréhension à le laisser menculer. Mais, sans que je puisse me lexpliquer, je nessayais pas de mopposer à la volonté de lhomme, ni de protester, même mollement.
« Javais seulement le cur qui battait un peu plus vite la crainte de la douleur et surtout, jétais dans une situation dattente presque jouissive. Javais contrainte par la main gauche de lhomme qui appuyait sur ma cuisse droite gardée la position, allongée sur le dos en travers du bureau, les jambes relevées et largement écartées. Joffrais ainsi mes deux trous à Rafik, en espérant quil choisisse, une fois de plus, ma chatte. Mais je savais quil avait flashé sur mon cul et que cétait ce trou-là quil convoitait. Je le regardais qui tenait son immense queue, qui trépignait dimpatience, avec sa main droite et qui la dirigeait vers mon anus qui se trouvait à la bonne hauteur. Il posa le bout de son large gland sur mon illet, attendit environ deux secondes et donna une forte poussée à ses hanches. Je sentis le bout du gland qui essayait de se frayer un chemin, en pesant puissamment sur mon sphincter. Celui-ci refusa de céder et résista autant quil put. Il me sembla que cela avait duré une éternité. Le gland narrivait pas à pénétrer totalement dans mon cul.
« Et puis, je sentis mon anus sélargir sous limpitoyable poussée et sétirer tel un élastique pour arriver à sa dimension maximale.
« Et le plaisir finit par tout dominer. Surtout que Rafik prit linitiative de mattr la main droite et de la porter à ma chatte que je sentais palpiter. Il mobligea à y faire pénétrer deux, puis trois doigts, et à entamer un mouvement de masturbation. Il mordonna de me masturber (« Haki ! ») et lâcha ma main. Au début jhésitais un peu à me masturber vraiment. Puis, lintensité du plaisir aidant, je me mis à faire aller et venir mes trois doigts dans mon vagin avec de plus en plus de vigueur. Cétait délicieux ! Dun côté, mon cul était rempli par le magnifique zob de mon amant et de lautre, mes doigts occupaient mon vagin, dans lequel ils allaient et venaient furieusement. Et à chaque aller-retour, ils croisaient le zob et se frottaient à lui. Je navais encore jamais ressenti une telle sensation. Javais entendu parler de double pénétration et je crois que cétait cette sensation là quune femme, qui se faisait prendre par deux hommes en même temps, devait ressentir.
« Et je le montrai à mon homme, en reprenant mon couinement de cochonne que javais auparavant quand Rafik mavait fait jouir, deux fois de suite, par la chatte. Je narrivais pas à me retenir. Une force supérieure me poussait à produire ce bruit bizarre, qui était la représentation sonore du plaisir que jétais entrain de prendre. Lhomme lui rugissait comme un lion à chaque pénétration. Ses couilles, dures comme de la pierre, venaient à chaque fois cogner contre mes fesses et produisaient un bruit sec, qui ajoutait à notre émoi à tous les deux. Je regardai le visage de mon amant qui était crispé par leffort quil faisait et par le plaisir quil prenait. Ses lèvres tremblaient à chacun de ses coups de reins et de la bave commençaient à en sortir. Ses yeux étaient exorbités par le désir et le plaisir. Je voyais quil nallait pas tarder à exploser dans mon cul.
« Je voulais jouir en même temps que lui. Je ne voulais quil jouisse tout seul, en me laissant sur ma faim. Jaccentuais le rythme du va-et-vient de mes doigts dans mon vagin et cherchait à chaque fois à attr, à travers les parois vaginale et rectale, le zob qui continuait daller et venir dans mon cul. Chaque fois que je le frôlais je ressentais comme une légère décharge électrique qui accentuait la sonorité de mon couinement et faisait tirer à Rafik un gémissement de plaisir. Et puis je vis dévaler en moi un torrent de jouissance, qui me fit pousser un très long râle de plaisir, qui dura tout le temps de lorgasme. Mon amant partit lui aussi dans un long rugissement et explosa dans mon cul. Il éjacula, une fois de plus, une énorme quantité de foutre, que son manche faisait ressortir à chaque retour vers lextérieur. Bizarrement, au moment même où Rafik et moi jouissions bruyamment, lidée me traversa lesprit que Wahiba, la secrétaire de mon amant qui travaillait dans le bureau dà côté, était entrain de nous entendre et que peut-être même, elle nous épiait à travers le trou de la serrure de la porte.
« Il fit alors une chose complètement folle. Du moins dans mon esprit. Il me fit descendre du bureau sur lequel jétais allongée et mobligea à me mettre à genoux devant lui. Il me présenta son zob noir, rempli de nos sécrétions et mordonna de le lécher.
- Lahsih ou ghaslih befoumek ! (Lèche-le et lave-le avec ta bouche !)
« Je navais jamais fait une chose pareille. Mon mari ne mavait jamais demandé de le sucer après mavoir enculée. Et si daventure, il lavait fait, ma réponse aurait été catégoriquement négative. Mais avec Rafik, il nétait pas question de refuser quoi que ce soit. Et, pour être vraiment honnête, je navais aucune envie de refuser. Jétais dans le même état desprit quune femme sous influence. Ce qui venait de mon homme ne pouvait pas être mauvais ! Ce quil mordonnait devait être exécuté sans réticence, résistance ou appréhension ! Jattrapai donc le zob, un peu flasque de Rafik et avançai la tête vers son pubis. Je fus frappée par lodeur assez forte de cacas que dégageait le manche, mais cela ne marrêta pas pour sortir la langue et me mettre à le lécher. Je naimais pas le goût du mélange que jétais entrain de ramasser avec ma langue, mais je fis leffort de le porter à ma bouche et de lavaler.
« Je recommençais plusieurs fois. Rafik gémissait à chacun de mes coups de langue. De toute évidence, il aimait ce que je lui faisais. Il aimait tellement, quil se remit à bander. Moins de deux minutes plus tard, son manche avait repris ses proportions exceptionnelles et se remit à frémir de désir. Il mattrapa violemment par les cheveux et mordonna dune voix qui nadmettait aucune réplique :
- Halli foumek ! Rayeh en-nikek men-nou ! (Ouvre ta bouche ! Je vais te niquer par là !)
« Et il me niqua par la bouche, comme il mavait niquée par la chatte ! Comme il mavait niquée par le cul ! Avec autant de force et de puissance ! Il avait même failli me faire mourir d, tellement son manche avait pénétré très loin au-delà de la glotte.
« Parce que dès cette première fois, javais décidé de tout faire pour que Rafik me garde auprès de lui. Que je sois sa maîtresse dans le lycée. Sa seule maîtresse. Je voulais que toutes les femmes me jalousent et rêvent dêtre à ma place. Une place que je ne leur céderais pas ! Cest donc avec délectation que je reçus - dabord au fond de ma gorge, puis dans ma bouche et le reste sur le visage tout le sperme quil éjacula en jouissant. Et du sperme, il en avait encore en quantité, malgré ses trois éjaculations précédentes. Et je bus la totalité avec ostentation, pour lui montrer que jétais une maîtresse à la hauteur.
« Il me laissa partir juste après cette bizarre fellation, après mavoir dit que jétais exactement comme il mimaginait (une pute qui adorait le sexe !) et mavoir donné rendez-vous, chez lui pour le lendemain matin. Voilà toute lhistoire. Demain je retourne le voir et je passerai toute la matinée dans ses bras. Je suis devenue terriblement accro à cet homme et à son merveilleux manche.
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Voila donc lhistoire de la première dentre nous qui goûta au zob de Rafik, notre directeur. Hakima, Zineb et moi en fûmes toutes retournées. Peut-être même un peu jalouses. Ce quelle nous avait raconté avait mis le feu en nous. Pour ne parler que de moi, javais la culotte toute mouillée et lenvie de baiser mavait accompagnée tout le reste de la journée. Ce fut mon mari qui fit les frais de cette envie irrépressible de me faire tirer. Dès quil rentra à la maison, vers dix-huit heures, je lentrainais dans notre chambre à coucher (notre bébé y dormait encore) et lobligeai à me tirer en levrette. Le pauvre en était tout étonné. Il ne mavait encore jamais vu dans un tel état dexcitation, mais il se plia à mes désirs sans poser une seule question. Par la suite, je lui dis quune amie mavait raconté ses ébats de la nuit avec son mari et que cela mavait beaucoup excitée. Il mavait semblé que javais beaucoup joui : certainement à cause du contexte un peu spécial des ébats.
Zahia continua un moment à nous raconter, avec moult précisions, ses aventures avec Rafik. Elle narrêtait pas de tarir déloges sur les capacités phénoménales de lhomme : puissant et infatigable. Et elle narrêtait pas de décrire lengin quil portait entre ses cuisses : ses mensurations, sa beauté, sa puissance, sa force et sa douceur. Et à chaque fois, elle nous rendait plus jalouses delle. Chacune dentre-nous simaginait à sa place entrain de subir les assauts du maître. Et à chaque fois, nous rentrions un peu frustrées à la maison. Et puis un matin, Zahia prit Hakima à part et lui parla longuement, sans que Zineb et moi ne pûmes entendre quoi que ce soit. Quand elles terminèrent leur aparté, elles revinrent vers nous avec un merveilleux sourire sur les lèvres. Surtout Hakima. Ce fut elle qui nous annonça que cette après-midi, elle avait rendez-vous avec Rafik. Dans son bureau. Elle en tremblait presque démotion.
Ce fut Zahia qui nous expliqua ce qui était entrain de se passer. Rafik lui avait dit, après quelques jours damours exclusives avec elle, quil aimait trop les femmes pour pouvoir se contenter dune seule. Il aimait le changement et cétait, ajouta-t-il, la raison principale qui lavait poussé à rester célibataire. Elle en avait été un peu choquée. Mais après quelques minutes de réflexion, elle avait fini par accepter la chose. Elle était trop accro à lui pour le larguer. Il lui fallait donc organiser elle-même la suite. Elle acceptait quil baise dautres femmes, mais il fallait que ce soit des femmes quelle lui aura elle-même choisies. Et qui fera le mieux laffaire que ses trois copines ? qui bavaient dexcitation chaque fois quelle leur parlait de lui ? Elle lui avait donc parlé de nous et lavait convaincu de faire de nous ses maîtresses. Elle lavait assuré que nous nous avions du tempérament et que nous étions de vraies chiennes au lit. Et il accepta.
Je ne sais pas comment les autres avaient, au fond delles-mêmes, pris la nouvelle, mais aucune de nous ne refusa la perspective de devenir la maîtresse de Rafik. Aucune de nous ne protesta contre Zahia qui avait fait de nous des objets, des cadeaux, quon offrait à un homme. Cela faisait longtemps que Zahia nous louait ses capacités damant. Longtemps que chacune dentre-nous simaginait offertes aux coups de boutoir du gros zob noir de lhomme. En ce qui me concernait, je ne réagis pas. Je ne dis ni oui, ni non. Mais au fond de moi, je savais que jallais attendre avec impatience mon tour. En attendant, nous avions toutes les trois Zahia comprise, demandé à Hakima de ne rien nous cacher de ce qui allait lui advenir. Et, le lendemain matin, elle nous raconta.
... /
Lhistoire de Hakima
« Hier à quatorze heures, je pénétrais dans le bureau du directeur, après mêtre faite annoncée par Wahiba et quil eut actionné le mécanisme douverture électrique de la porte. Je le trouvais assis derrière le bureau. Il leva la tête pour me regarder et me toisa de la tête au pied. Il fit un signe de la main pour me signifier davancer vers lui. Ce que je fis sans me presser, tant jétais émue. Je suis une femme qui a eu des tas damants. Les hommes ne mintimident donc pas. Mais cet homme, assis derrière son bureau, qui me regardait avec des yeux moqueurs et qui ne se levait pas, mintimidait vraiment. Je savais quil était entrain de métudier pour se faire une idée sur moi. Non pas sur mon physique ; il le connaissait assez bien, puisque nous nous rencontrions presque tous les jours dans la cour du lycée, dans les réunions de classes et même parfois en salles de classe, quand il venait sassurer que tout se passait pour le mieux.
« Il cherchait plus à se faire une idée sur la manière dont il allait sy prendre avec moi pour passer au vif du sujet. Quand jarrivai au milieu du bureau, il se leva et vint vers moi, les deux bras ouverts comme sil voulait me montrer quil était content de me voir en menlaçant et en me serrant contre lui. Et cest effectivement ce quil fit : il me prit dans ses bras et me colla contre lui, comme si jétais une personne qui lui était chère, quil avait perdue de vie et quil venait de retrouver. Jétais un peu abasourdie par cette entrée en matière, mais ne me posai pas trop de questions. Je savais ce quil voulait et jétais daccord pour le lui donner. Les préliminaires ne mintéressaient pas spécialement. Nous restâmes ainsi quelques secondes, puis il me susurra à loreille que je lui plaisais beaucoup et quil allait me baiser debout.
- Rayeh en-nikek bel-wegfiya ! (Je vais te baiser debout !)
« Je ne répondis pas, ni pour acquiescer, ni pour me révolter. Mais dès cet instant, je ne contrôlais absolument plus rien. Il allait me baiser debout ! Il métait arrivée quelques fois de me faire tirer dans cette position ; par mon ex mari et aussi par quelques-uns de mes nombreux amants. Javais beaucoup aimé. Cétait une position qui me permettait de mieux sentir la puissance du zob qui me pénétrait ; une position qui me faisait jouir plus intensément. Et Rafik allait me baiser debout ! Quelle entrée en matière ! Et pour passer immédiatement à lacte, il me garda serrée entre ses bras, et me souleva légèrement du sol pour me porter vers le mur derrière son bureau et me coller contre lui. Il me déposa par terre et commença par me donner un long baiser sur la bouche. Un baiser torride et mouillé qui transforma ma chatte en fontaine. Il ne chercha pas à me déshabiller. Il se contenta de relever les pans de la longue robe que je portai pour dénuder mes jambes et mes cuisses. Il regarda le spectacle que je lui offrais ainsi, avec ma petite culotte en coton blanc et il sourit de contentement. Visiblement le spectacle lui plaisait.
« Il lança sa main vers mon entrecuisse et se mit à me caresser la chatte par-dessus la culotte. Il ny alla pas avec douceur. Au contraire, il sy prit avec brutalité, comme si, déjà, il cherchait à me faire mal. Et il me fit mal. Pas un mal intense ; juste pour me montrer quil était le maître. Il semblait intéressé par la forme de ma chatte, telle que lentrecuisse de ma culotte la dessinait. Une chatte dodue, avec de longues grandes lèvres en forme de quartiers dorange, bien juteuse. Il écarta le bord de la culotte pour mettre à nue ma chatte. Il introduisit deux doigts pour la caresser et, probablement, pour vérifier mon état dexcitation. Il parut rassuré quand il vit que jétais déjà très mouillée.
- Raki et-sili ! Testena wekta en-nikek ! Wekta en-dekhalhou-lek ! (Tu coules ! Tu attends le moment où je vais te niquer ! Le moment où je vais te pénétrer !)
« Je ne répondis rien et attendis la suite avec impatience. Je voulais voir le monstre que nous avait décrit Zahia. Je voulais quil sorte son zob de son pantalon pour que je puisse mater le manche qui allait prendre possession de moi. Mais je ne le lui dis pas. Non pas par timidité ou parce que je voulais garder une peu de ma « dignité ». Non simplement parce que je ne savais comment le lui dire et que de toutes les façons, il nallait pas tarder à me le montrer, ne serait-ce que pour voir leffet quil aura sur moi. Et, comme je le supputais, il ne tarda pas à séloigner de quelques centimètres de moi pour enlever son pantalon et son boxer et rester avec seulement sa chemise ouverte sur son torse velu. Japerçus le monstre noir dressé tel un mât de tente et frémissant dimpatience. Zahia navait pas menti. Ce nétait pas un zob normal dhomme. Cétait un zob dâne. Un zob comme je nen avais encore jamais vue. Un zob qui allait me transpercer comme un sabre et qui allait certainement me déchirer la vulve. Paradoxalement, je nen avais pas peur. Je le voulais tellement, quà sa vue, ma chatte se mit à palpiter et à couler comme une fontaine. Je voulais le sentir immédiatement dans mon vagin. Je voulais quil prenne possession de mon tunnel et quil y fasse son nid. Je voulais quil y habite pour tout le restant de mes jours. Je ne pus mempêcher de le lui dire :
- Ezzrab, dekhalhouli ! Dekhlouh fi hatchnouni ! Kessarli souwti ! (Fais vite, pénètre-moi ! Fais-le pénétrer dans ma chatte ! Démolis-moi la chatte !)
« Ce quil fit, en me faisant lever la jambe gauche en la prenant par lintérieur du genou, en me collant contre le mur et en me soulevant de quelques centimètres du sol pour que ma chatte soit à la bonne hauteur de son manche. Il me souffla à loreille de bien maccrocher à son cou. Il tâtonna un peu pour bien positionner son gland entre mes grandes lèvres, plia un peu ses genoux pour se mettre sous ma chatte et brusquement, il me pénétra sans précaution. Je sentis le sabre me déchirer la vulve. Il mavait fait vraiment mal. Rafik étouffa le hurlement de douleur que jessayais de pousser en posant ses lèvres sur les miennes. Il prenait du plaisir à me faire mal. Cet homme devait avoir en lui un fond de sadisme, qui le poussait à provoquer de la douleur chez ses amantes et à en jouir. Sans soccuper des cris de douleur que jessayais de pousser à lintérieur de sa bouche, il entreprit daller et venir en moi avec de plus en plus de force et de brutalité.
« Son monstre allait et venait jusquau plus profond de mon vagin, qui le moulait parfaitement. Jétais complètement empalée sur lui. Jen ressentais la force et la puissance. Mais aussi la douce chaleur qui laccompagnait. Car ce zob qui me détruisait la vulve, créait en même temps en moi un foyer de chaleur qui irradiait sur tout mon corps. Une chaleur qui avait même fini par prendre le dessus sur la douleur. Passé les premiers allers-retours qui navaient pas été de tout repos pour moi, le désir et le plaisir avaient commencé à sinstaller. Ils grandissaient à vue dil. Jétais maintenant transportée vers les plus hauts sommets du plaisir. Rafik, qui semblait être très loin de mes préoccupations, continuait imperturbablement ses allers-retours dans mon vagin. Il paraissait nêtre à lécoute que de son seul plaisir. Rien dautre ne comptait pour lui. Pas même moi ! Je nétais que lobjet de son plaisir ! Rien dautre ! Et je men fichais complètement !
« Seul comptait ce monstre qui avait pris possession de moi et qui était entrain de memmener au paradis. Les furieux allers-retours du zob avaient allumé un véritable brasier en moi. Un brasier qui ne brulait pas. Il produisait une belle chaleur, qui petit à petit me faisait grimper au septième ciel. Javais limpression que mon âme était entrain de senvoler et de planer au dessus de nous. Je me regardais prendre du plaisir et cela me rendait heureuse. De là-haut, je voyais Rafik, tel un guerrier farouche, qui continuait de faire monter et descendre son manche dans mon tunnel. Il avait fermé la bouche et je voyais ses joues se gonfler et se dégonfler à chacune de ses pénétrations brutales. Et à chaque fois, il soufflait comme un phoque. Jétais toujours fermement accrochée à sa nuque, pour ne pas perdre léquilibre. Inconsciemment, javais même planté mes ongles dans sa chair, peut-être pour lui rendre un peu de la douleur quil avait provoquée en moi, quelques temps auparavant.
Je narrivais pas à retenir les cris de plaisir qui commençaient à sortir de ma poitrine. Cétaient des petits cris aigus qui accompagnaient chaque pénétration du monstre dans mon tunnel. Des cris qui faisaient écho à la respiration haletante de Rafik. Et je bavais ! Je men étais pas rendue compte tout de suite. Je ne découvris les dégâts quau moment où, exténuée, javais posé ma tête au creux de lépaule de mon homme. Le haut de sa chemise était complètement mouillé par toute la salive que je produisis pendant quil me tirait. Et puis lorgasme vint. Lorgasme le plus intense que javais jamais connu. Et je nétais pas novice en la matière. Javais eu un grand nombre damants et certains dentre eux étaient vraiment à la hauteur. Lorgasme que jeus sous les coups de boutoir du manche de Rafik mavait emmenée au bord de lévanouissement. Si je navais pas été plaquée aussi fermement contre le mur, et si je navais pas été retenue par les bras puissants de lhomme, je serais certainement tombée sur le parquet du bureau. Je déchargeai, en poussant une série de râles successifs, une quantité incroyable de jus, que je sentais sécouler en dehors, pompée par le piston de Rafik qui continuait daller et venir en moi.
Puis je le sentis qui se crispa. La main qui me tenait sous le genou serra très fort sur ma chair et me fit très mal. Je ne lentendis plus respirer. Comme sil se retenait de peur déloigner le torrent de jouissance qui dévalait sur lui. Et puis, il poussa un long râle et explosa en moi en continuant ses furieux va-et-vient en moi. Il éjacula, en plusieurs jets, une quantité phénoménale de sperme brulant et visqueux, que je sentais couler le long de ma cuisse droite pour aller se mélanger au jus que javais moi-même déversé sur le parquet. La jouissance de Rafik me sembla durer une éternité. Je crois même quil avait joui plusieurs fois daffilée. Il avait continué de me pilonner la chatte pendant de longues minutes. Son manche était toujours en forme. Et même quand il arrêta les va-et-vient et quil le sortit de mon tunnel, son zob était toujours en érection. Il me reposa doucement sur le parquet, mais mes jambes refusèrent de me porter. Elles étaient flageolantes. Je ne pus que me laisser glisser par terre pour ne pas tomber. Rafik me rejoignit sur le parquet et membrassa tendrement. Un geste que je le croyais incapable de faire. Jusque là, il navait pas encore fait preuve de tendresse envers moi. Rien que de la brutalité !
Je crois quil avait conscience quil sétait comporté avec moi de manière trop brutale et que le baiser daprès coït, était sa manière à lui de sexcuser. Nous restâmes ainsi, assis par terre contre le mur pendant un long moment. Javais du mal à reprendre mon souffle et à remettre de lordre dans mes idées. Lui, il respirait doucement, tout en me regardant avec intérêt. Il regardait mes genoux ronds et brillants et mes cuisses dénudées. Son monstre était toujours debout ! Et il frémissait. Il avait encore envie ! Je savais que jallais encore être la victime de sa vitalité hors normes.
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